Une image par jour

josephinemarch a écrit:

Comment résister à ce petit canard de 1939?

C'est simple, on n'y résiste pas ! Un de mes 1ers souvenirs de cinéma: Ma tante pleurant devant le gentil canard pleurant dans l'eau de sa mare. Du coup, on a éclaté de rire. J'avais 7 ou 8 ans. Et Disney ne m'a plus vraiment quittée depuis.
Je me décide à proposer une photo puisque rien à l'horizon depuis celle, pleine d'émotion et de nostalgie, de Laly , sur les congés payés.

Elle est tirée de THE FRONT de Martin Ritt. Woody Allen y est juste acteur.
J'aime l'ambiance de cette librairie new yorkaise.

Emjy a retrouvé le grand père de Némo

Le petite canard est très mignon! Et la librairie New Yorkaise fait rêver, le genre d'endroit ou je pourrais passer des heures à fouiner. Les robes sont très agréables à regarder et j'attends avec impatience mes prochains congés payés avec impatience! Merci à toutes.

Je poste une photo que j'ai tenté de retrouver sur internet sauf que je ne sais pas vraiment de qui elle est , je l'ai trouvé dans un magazine, elle me plaisait et je l'ai plastifié pour en faire une couverture de cahier, elle a un peu vécu désolée, c'est un peu bricolé mais bon pas retouché, c'est une sugragette des années 30 je crois.


Avec un petit clin d'oeil à Audrey Hepburn

Spoiler:

Constance, j'aime énormément ton image...

C'est une très jolie photo, effectivement.

Je continue dans la veine surréaliste, et je vous propose aujourd'hui une oeuvre de Dali :


Il s'agit du "téléphone-homard, ou téléphone aphrodisiaque" ; il a été exposé à Francfort en 1936.

Il faut reconnaître que c'est assez bizarre !

Il faut croire que Dali aimait ces bestioles, puisqu'il s'en est inspiré pour aider Shiaparelli à créer en 1936 un nouveau modèle de robe qu'on peut toujours aller voir au musée de la mode à Paris :

Spoiler:

Aaah... Schiaparelli ! Elle a peut-être fait, ou inspiré, les épaulettes de la jeune femme sur la photo de Constance !?
Sacré farceur de Dali... Merci, les filles pour ces jolies images !
Je vous poste ce qui me sert de fond d'écran depuis quelques jours. Suivez en particulier le coup de crayon coquin de Tom Ewell (et de Billy Wilder), le monsieur qui, dans le même film, regarde s'envoler la robe plissée de Marilyn au-dessus de la bouche de métro...
Et tant pis si le docteur March nous fait les gros yeux... on l'aime, lui aussi !

J'adore les leçons de marketing éditorial contenues dans Sept ans de réflexion !

Il y a aussi une critique de la publicité à travers le spot pour une marque de dentifrice dans lequel joue Marilyn...

Spoiler:

Le délire paranoïaque de Tom Ewell n'est pas mal non plus, d'ailleurs.

OUiiiiiii !.... Billy Wilder est vraiment super fortiche pour battre le chaud et le froid, le tendre et le méchant, le cynique et l'indulgent!
Merci pour cet extrait dont j'ai capté cette image qui en dit sacrément long sur la modern american way of life. D'un coup, d'un seul, nous avons: la publicité, le sexe (symbol), l'enfant innocent pas très innocent, la nature "sauvage et pure" spoliée par l'introduction incongrue de cette télévision...! Vraiment, oui, toute l'Amérique en un seul plan! Quelle lucidité remarquable!
Et drôle, toujours.

Question : est-ce qu'on créé un topic à part sur Sept ans de réflexion ?

Un film des années 1950 qui évoque la période des années 1930 ? C'est Certains l'aiment chaud. Voici Tony Curtis et Jack Lemmon dans des tenues typiques de ces années là :

Ils sont assez crédibles, non ?

Assez mais disons que le mollet donne un indice assez clair que vaut mieux pas aller draguer de ce côté là si on n'aime pas les mauvaises surprises

C'est vrai que le mollet vient introduire un légitime soupçon !

... ainsi que le menton en galoche de Jack Lemmon !
Sauf sévère myopie. Ou manque violent d'affection.

Ps: Pour "7 ans de réflexion", je ne sais pas. J'ai tellement l'impression que tout ce qui tourne autour de Marilyn a été battu, rebattu, et re, et re, et re....! Faudrait trouver un angle un peu original. J'avoue ne pas en voir pour l'instant.

Pickwick a écrit:

Assez mais disons que le mollet donne un indice assez clair que vaut mieux pas aller draguer de ce côté là si on n'aime pas les mauvaises surprises

Popila a écrit:

C'est vrai que le mollet vient introduire un légitime soupçon !

Juniper Sling a écrit:

... ainsi que le menton en galoche de Jack Lemmon !

Nobody's perfect

Seirên a écrit:

Nobody's perfect

En effet : mollet musculeux + menton en galoche ... Keira Knightley ?

Pickwick a écrit:

Seirên a écrit:

Nobody's perfect

En effet : mollet musculeux + menton en galoche ... Keira Knightley ?

WOOUUUÂÂÂÂÂÂWHHH.... !!!!!

Vous allez chercher loin, dans vos associations d'idées !

Méfiez-vous, le fan-club de Keira Knightley va rappliquer, et cette basse attaque risque de ne pas rester impunie !

Seirên a écrit:

Nobody's perfect

C'est une citation des plus appropriées !

Ah oui, Seirên et Pickwick, vous êtes tombés pile poil !
Voici une image du chéri de josephinemarch (entre millions d'autres): Gene Kelly en live, juste dans la rue de mon Franprix !
Désormais, quand je passe avec mon caddie d'artichauts et de yaourts à l'ananas, la pensée que mes godillots foulent le sol qui a été effleuré par ses petons élastiques me ragggggggaillardit ! Bon d'accord, c'était en 1976... Et alorsssss?!

Juniper Sling a écrit:

Bon d'accord, c'était en 1976... Et alorsssss?!

Je t'élis "Reine de la Digression Anachronique Mais Néanmoins Plaisante à Lire !

RDAMNPL.... ça me va impecc' comme pseudo !
En ai profité pour rajouter du g (comme gene, ou gin) à ragaillardir... Mieux vaut fauter par abondance, tant qu'à faire.

Des digressions de ce genre, j'en veux bien tous les jours!
Merci Juniper Sling!

Dans ce cas, pourquoi ne pas créer un topic spécifique dans le sous forum "L'âge d'or du cinéma", où chacun posterait ses photos préférées ?

Je recentre un petit peu les choses en vous proposant aujourd'hui une photographie de deux des soeurs Mitford, Unity et Diana, dans l'Allemagne des années 1930 :


Si vous voulez en savoir un peu plus sur cette excentrique famille, c'est par ici :

L'attitude de ces deux soeurs de Nancy Mitford durant la période des années 1930 montre l'attirance d'une certaine frange de l'aristocratie anglaise pour les idéaux du fascisme.