Nord et Sud, le livre

Je profite du up du sujet pour rajouter mon grain de sel.

J’ai dévoré Nord et Sud cet hiver, après avoir guetté sa sortie poche (jusqu’à harceler mon libraire le jour dit à l’ouverture de sa librairie « Quoi, vous n’avez pas encore déballé vos cartons ?! Mon livre )

Satine a écrit:

J'avoue que j'ai trouvé quand même le livre un peu "déséquilibré" car il y a eu des passages où j'ai complètement dévoré et d'autres passages où j'avoue m'être un peu ennuyée (je dis bien un peuu hein lol, je voulais surtout passer ses passages pour venir aux moments de leur retrouvaille à la fin tellement j'étais curieuse MDR).

Est-ce réellement un déséquilibre ou ne serait-ce pas plutôt ta perception et ta sensibilité qui te font préférer certains passages à d’autres ? Je défends mon Nord et Sud bien aimé mais c’est une règle applicable à tous les romans je pense et la base du j’aime/j’aime pas. Et à titre d’exemple, moi, je ne me suis pas ennuyée un seul instant !

Parmi mes passages préférés figurent celui de

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J’aime la relation de Margaret avec les Higgins et comment

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et comment

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J'adore Margaret et j’aime beaucoup la contradiction qu'elle présente avec le personnage de sa cousine, si stupide, peu réfléchie, et un soupçon vulgaire (c'est pas moi qui le dit c'est Margaret ! ) parce qu’elle a toujours vécue dans une atmosphère à l’abri de tout problème (ou alors parce que c'est la personnalité de sa cousine dont je ne me rappelle plus le nom ). J'aime Lennox

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J’aime Mrs Thornton qui déteste Margaret, parce qu’elle est persuadée que celle-ci veut son fils chéri , puis la déteste encore plus d’être une arrogante qui le dédaigne.


Quant à la scène finale, pas mal de monde semble en vouloir davantage...mais pas moi ! Je la trouve parfaite ainsi, et c’est une des scènes que je trouve parmi les plus réussies (avec la scène de la grève et la scène de la gare). Cette fin témoigne, à mon sens, de l’attachement qu’ils ont l’un pour l’autre, et que celui-ci est déjà si bien ancré qu’il suffit d’un rien pour qu’ils se tombent dans les bras. Nul besoin d’en dire davantage (delicious silence ) et puis comme dirait Tante Agatha (Christie) « il serait vain et fastidieux de rapporter ici les détails de cette conversation quelque peu répétitive » comme le sont souvent les conversations d’amour

Vous aurez compris à quel point j’adore ce roman. (A quand la sortie poche de Femmes et filles ? J’implore l’Herne de bien vouloir considérer la question )

Malgré que la série soit bien faite, je ne peux pas la considérer à la hauteur du roman. D’abord Margaret est trop éloignée de ma Margaret imaginaire et John, je ne sais même plus comment je l’imaginais depuis que j’ai visionné la série mais pas du tout comme ça. Non, Richard Armitage ne me convient pas parfaitement. (Ai-je quelque chose à craindre en émettant cette opinion ?) Donc pour moi c’est le roman, seulement le roman, toujours le roman !

En effet vous avez raison je suis tombée amoureuse de Richard Armitage en John Thornton Sa voix

Diana Villiers

Citation :

Quels sont les personnages que tu n'as pas aimé?

Hmmm moi je n'ai pas vraiment apprécié le personnage de Mrs Thornton, elle m'a vraiment agacé ainsi que sa fille Fanny ^^. Mais j'ai beaucoup aimé le lien affectif entre John et sa mère.

Sinon euuh à la fin Henry Lennox est énervant car il est tellement sure de lui que Margaret a des sentiments pour lui à présent ...
Sinon je préfére la Bessy de l'adaptation qui est plus "optimiste" et sympathique que dans le livre ...

Pour

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C'est vrai, A QUAND UNE PUBLICATION DE WIVES AND DAUGHTERS ????

@Haydée
Tu n'as rien à craindre pour ton peu d'intérêt et d'affection pour Richard Armitage, sauf peut être de l'incompréhesion totale car ici, tout le monde l'adore
Je suis comme Satine, j'ai adoré Richard Armitage dans cette mini série, il est parfait en John Thornton et sa voix....
La fin du livre me plait comme elle est

@Satine
J'aime beaucoup la mère de John Thornton. On voit bien qu'ils ont travailler dur, elle et son fils, pour en arriver où ils sont.
Elle l'adore, et trouve Margaret pas assez bien pour son fils.
Un passage m'a marqué, c'est quand elle admet intérieurement qu'elle aime moins sa fille car elle est moins forte..
Sa relation fusionnelle sans être etouffante avec son fils m'emeut
Je lis en ce moment wives and daughters , et je préfère pour l'instant North and South

Diana Villiers
Moi aussi si j'avais une fille comme Fanny et un fils comme John, j'aurais aussi une préférence (grande) pour mon fils mais il faut aussi qu'elle comprenne que d'une part c'est sa faute si sa fille est comme ça, c'est quand même elle qui l'a éduqué ... mais bon on n'y peut rien après ^^.

Sinon je m'en doute bien que W&D n'est pas aussi bien que N&S mais il doit être quand même bien non ? lol
Sinon tu le lis en anglais ? Car en français à ma connaissance il est introuvable ce bouquin non ?

@Satine
je pense que Mrs Thornton aime ses deux enfants, mais de façon différente et pas avec la même intensité.
Et puis Fanny ne s'en plaint pas et n'est pas jalouse de la relation entre son frère et leur mère...

Pour Wives and Daughters, je le lis effectivement en anglais, et pour l'instant, je le trouve bien, mais pas aussi bien que North and South (mais c'est difficile de faire mieux )
A ma connaissance, il est publié en France aux éditions Herne (maison d'édition que je ne connais pas)

Oué apparemment mais j'ai cherché et on ne peut plus le trouver en français ... Je vais encore essayer de chercher et voire ^^. En tout cas j'aime la couverture =).
Il s'agit aussi d'une histoire d'amour non ? ^^ Je ne connais pas tellement l'histoire de W&D en fait ^^

@Satine
Tu ne peux pas du tout le lire en anglais?
il a l'air difficile à trouver en français, tu n'es pas la seule à le dire
Il y a un topic sur l'adaptation en period drama de Wives and Daughters, mais je ne suis pas sur qu'on résume l'histoire sur ce topic... C'est en résumé l'histoire de Molly, jeune fille elevée par son père veuf, qui vers 17 ans voit son père se remarier avec une femme futile , qui amène avec elle sa fille Cynthia que Molly aime beaucoup.Cela parle surtout de leurs relations avec le Squire du village, et de ses deux fils avec Molly et Cynthia

Merci pour le résumé

Sinon j'ai encore jamais lu de livre en anglais comme ça, je vais bientöt m'y mettre avec un bouquin à l'écriture facile (Never Let Me Go de Ishiguro) mais je ne pense pas pouvoir lire de classique en anglais encore ^^.
Sinon je pourrais peut être le trouver en français dans des petits librairies ou dans des bibliothèques peut être ...

@Satine
J'ai remarqué qu'il n'est même pas disponible sur Amazon!
Si tu veux commencer à lire en anglais, les classiques ne sont pas forcément le premier choix, mais je trouve le livre facile à lire.

Ok, je verrai Mais je me dis que peut être, avec le DVD de la minie-série Nord et Sud qui sortira en France prochainement, qu'ils republieront de nouveaux les livres de Gaskell. On peut toujours espérer, puis ce n'est pas impossible lol

Diana Villiers a écrit:

@Haydée
Tu n'as rien à craindre pour ton peu d'intérêt et d'affection pour Richard Armitage, sauf peut être de l'incompréhesion totale car ici, tout le monde l'adore

Je serai donc l'extraterrestre

Je l'ai lu le livre après avoir vu la série. J'avais besoin de prolonger mon contact avec Mr Thornton et Margaret, étant complètement tombé amoureuse de leur histoire. Je me suis donc procuré le livre très rapidement et me suis plongé dedans avec ravissement. J'avoue que le début a été un peu difficile. J'avais dû mal à rentrer dedans. Malgré tout, je suis trop heureuse de l'avoir lu car il y a tout de même pleins de petits détails, de petites choses qu'il n'y a pas dans la série. Cela m'a permis de vraiment comprendre Mr Thornton, Margaret et l'univers dans lequel ils évoluaient. J'ai tellement aimé que je l'ai tout de suite donné à lire à ma mère. Je sais qu'elle a aimé, car elle me faisait part de ses commentaires au fil de la lecture. Mon prochain but, c'est de lui faire voir la série!

J'ai lu quelques 120 pages de cet ouvrage et j'avoue ne toujours pas décoller. Je ressens une lenteur et comment dire, un manque d'épaisseur de certains personnages, qui défilent devant moi sans m'interpeller.
J'espère que tout cela va s'améliorer car j'attendais vraiment un livre extraordinaire. Pour l'instant, j'ai un livre sociologique, plein de réalisme.
Il me manque un truc.
Je reviendrai creuser ça car je compte continuer (mais si je songe à Eliot ou Trollope ou Dickens, qui, dès les premières pages, me rendent addicted, je me dis qu'il manque un ingrédient).

J'ai fini par dévorer ce pavé de plus de 600 pages, assez rapidement, car à partir des pages 150 et suivantes, on entre dans le roman social et c'est cet aspect là qui m'a retenue essentiellement.

L'histoire d'amour n'est pas inutile car l'auteur fouille bien la psychologie des 2 protagonistes, mais elle reste en arrière-plan des nombreuses thématiques abordées.

L' Angleterre est un pionnier de l'industrialisation puisque chez eux, cela commence dès le 18è siècle, en raison notamment de grandes réserves de charbon, qui permettront d'alilmenter les machines infernales qui tueront à la tâche tant d'ouvriers.

J'ai trouvé qu'EG proposait une lecture de l'ascension inéluctable de la mécanisation et des mutations de classes très nuancée, avec beaucoup de points de vue.

Les aristocrates, toujours condescendants et plein de préjugés pour cette nouvelle classe de "marchands", les ouvriers, à la fois victimes consentantes et récalcitrantes de ceux qui leur permettent de manger, les industriels, eux-mêmes, cruels mais parfois sensibles. En somme, rien n'est réducteur même si le capital a des effets dévastateurs sur des familles entières.

De ce point de vue là, EG a eu raison d'insister sur la misère des enfants et il y a de nombreux passages insoutenables (malnutrition, solitude, misère...).

La mort est également l'héroïne du roman et rejoint un des fils directeurs : la crise de foi qui affecte durement le père de l'héroïne, pasteur qui renonce à l' Eglise pour migrer vers le Nord et changer de carrière.

Les allusions à la Bible sont légion et l'on sent une volonté de légitimer les douleurs terrestres, y compris liées au modernisme, mais avec un doute permanent "comment Dieu permet-il tant de souffrances ?".

On ne peut qu'être sensible aux nombreux degrés d'interprétation de ce livre, qui contient un fond métaphysique parfois lumineux, mais souvent perplexe, et l'histoire de l'essor économique du monde citadin, qui tranche d'un coup avec la ruralité ancestrale d'un grand peuple.

A noter toutefois : un style plutôt empesé (est-ce la traduction ?) et quelques raccourcis temporels fulgurants dans la narration qui m'ont un peu gênée mais on s'y habitue et ces maladresses minimes n'ôtent pas l'aspect grandiose de cette fresque humaine.

Le tout est très British avec un élément récurrent : la maîtrise de soi et de ses sentiments.

Je recommande.

Après avoir vraiment beaucoup aimé la série que j'ai regardée il y a quelques semaines, je me suis plongée dans le roman avec un a priori plutôt positif, forcément.
Hélas, mise à part les aspects historiques sociologiques de l'époque et de ce contexte particulier qui m'ont intéressée, vieille fan de Zola que je suis depuis mes 15 ans, et le fait de rentrer dans les pensées de Thornton, j'ai été déçue par la lecture du roman qui, je trouve est bien moins réussi que l'adaptation
J'ai l'impression que les personnages féminins ont constamment la larme à l'oeil!!
Du coup, certains passages m'ont paru pénibles.
Peut être que c'est le "style de l'époque" qui veut ça, mais enfin, je trouve que cela ne rend pas la lecture agréable du tout et que cela déforce le roman, franchement intéressant par ailleurs.

Je l'ai toutefois lu jusqu'au bout mais j'ai quitté le bouquin en ayant envie de revoir la mini série , comme un antidote à cette lecture!!!!

J'ai apprécié ce roman mais ce n'est pas non plus un coup de coeur. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs. Par contre, je trouve la psychologie des personnages très bien décrite. J'ai adoré tout les détails montrant l'admiration profonde de Mr Thornton pour Margaret, comme la scène du bracelet qui retombe à chaque fois sur la main de Margaret.
De même, j'ai beaucoup aimé les passages parlant de la relation patrons-ouvriers et du contexte historique en général, découvrir les façons de penser et les différents mondes (ouvriers/patrons-aristocrates). Et pour cela les débats entre Mr Hale, Margaret et Mr Thornton, pour ne citer qu'eux, m'ont beaucoup plus.

Comme certains d'entre vous, je préfère la série. Il n'y a pas de longueur et l'intensité dramatique du conflit social est, je trouve, mieux rendue. Je me rends compte après lecture que l'acteur qui joue Mr Thornton a vraiment fait du bon boulot.

Caelan a écrit:

Je me rends compte après lecture que l'acteur qui joue Mr Thornton a vraiment fait du bon boulot.

Je ne pense pas que quiconque osera te contredire sur ce point
Richard Armitage est parfait dans cette mini-série

@Marquise
J'espère que tu n'abandonneras pas!
J'aime bien Margaret, mais c'est le personnage de Thornton, et sa mère, qui sont les plus intéressants.
Le personnage de John Thornton prend de l'ampleur, car le sentiment amoureux est de son côté. J'aime enormement ce personnage, et sans vouloir trop t'en dire pour ne pas te gâcher ta lecture, j'espère vraiment que tu vas continuer ta lecture.

Chère Madame Gaskell,

Je voudrais tout simplement vous remercier d'avoir existé et d'avoir créé cet univers fort et grand de Nord et Sud. Certes, vous aviez sans aucun doute l'expérience d'une fille de pasteur et la connaissance des différences subtiles entre sensibilités religieuses en Angleterre au XIXe siècle. Vous avez vous-même vécu de l'intérieur l'existence apparemment douce dans le Sud et la vie laborieuse, industrieuse dans le Nord de l'Angleterre. Vous avez assisté à l'explosion créative de la révolution industrielle et dans le même temps à la naissance des syndicats, à la lutte acharnée des ouvriers contre les patrons, vous vous êtes intéressée aux conditions de vie et de travail de ces ouvriers. En tant que femme, vous avez sans doute été tenue éloignée de cet univers dit "masculin", au titre qu'une femme ne pouvait développer une opinion personnelle ou une initiative autre que celles de la charité traditionnelle.

Toutes ces thématiques prouvent que vous étiez une femme moderne, ouverte d'esprit, courageuse : car ces combats socio-économiques, cette influence de la finance sur l'économie qui se fait déjà sentir, cette tentation du profit au détriment de l'humain qui motive certains patrons n'appartiennent plus au XIXe siècle : ils sont tristement, encore et toujours, à l'oeuvre aujourd'hui. Et ces thèmes passionnants, vous les glissez dans un roman somptueux, au coeur d'une histoire d'amour forte et romantique à souhait entre des personnages charismatiques. Il me semble que la belle Margaret Hale et le sombre John Thornton sont désormais pour moi des amis à l'existence bien réelle. Comme cela fait du bien d'assister à l'attirance - répulsion entre ces deux personnalités que tout oppose au début, et qui finiront bien sûr par se rencontrer, après bien des épreuves, dans un amour profond et durable. Dans un monde où tout va vite, où certaines amours semblent si rapides et si brèves, comme il est bon d'accompagner ces deux êtres dans la naissance d'une passion à la fois blessante et brûlante, pleine d'incompréhensions et de doutes.Comme il est bon de prendre son temps, de goûter l'analyse psychologique si fine et si élevée moralement, de partager les affres de John Thornton, les atermoiements de Margaret, la piété filiale de l'une et de l'autre.

Cette histoire d'amour, vous l'avez déployée dans un décor rude, celui de Milton Northern, ville en pleine expansion, où les floches de coton se mêlent à la fumée des usines et à l'odeur de l'argent, brassé en masse par les industriels de la région. Votre art de romancière affirmée vous a aussi fait créer des personnages secondaires d'une grande richesse : de la majestueuse Mrs Thornton à Edith, la cousine enfant gâtée de MArgaret,en passant par la fidèle et fière Dixon, des parents désorientés de Margaret au délicieux Mr Bell, jusqu'à Nicholas Higgins, l'ouvrier dont la grande gueule n'a d'égale que la sensibilité et l'ouverture d'esprit.

Tous ces personnages interagissent, se font grandir et font évoluer l'histoire jusqu'à la frémissante et délicieuse scène finale... Un roman somptueux, je me répète.

Merci, Madame Gaskell, de m'avoir fait découvrir votre univers... Je suis ferrée et ai déjà acquis Cranford pour en découvrir une autre facette.


Après ma lecture, j'ai revu la mini-série de la BBC dont j'ai déjà parlé ici. Je l'aime toujours autant, et je suis très contente d'avoir vu la série avant de lire le roman, car je ne suis pas sûre que je l'aurais autant appréciée si j'avais fait l'ordre inverse... La série développe et met en avant certains passages somme toute très courts du roman, en invente l'un ou l'autre, ce qui est bien normal puisque le langage télévisuel n'est pas le même que celui du roman, et que le parti-pris de filmer de manière contemporaine se justifie pleinement. Et bien sûr, John Thornton et Margaret Hale sont interprétés par deux acteurs parfaits (aaah Richard Armitage, oooh Daniela Denby-Ashe) sans oublier les rôles secondaires tous très bien adaptés (mention spéciale à Sinead Cusack dans le rôle de Mrs Thornton et Brendan Coyle dans le rôle de Nicholas Higgins, attachant et crédibe alors que je l'ai ressenti très différent dans le roman). Mais j'ai vraiment apprécié cette lecture qui se déploie, qui prend son temps sans nous ennuyer une minute... mais je ne vais pas répéter tout ce que j'ai déjà noté plus haut.

Voici un roman que j'ai lu il y a un an et que j'aime vraiment beaucoup beaucoup!! J'ai regardé le DVD et je suis tombé sous le charme de Thorton!=)

Nord & Sud ressort en poche chez Points avec une nouvelle couverture le 25 novembre ...

Je préférais la précédente couverture...