The death of Peter

Invité

Lunaë a écrit:

The death of Peter Pan

Citation :: Cast of characters

James Barrie: Scottish playwright and author, 5-feet tall, constant smoker who has a hacking cough as a result of the smoking and an earlier bout with bronchitis. Moody, jealous, whimsical. Happy around children and teenagers, particularly Michael Llewelyn Davies. About 60.

Michael Llewelyn Davies: Second youngest of the Llewelyn Davies boys whom Barrie adopted and his favorite. Late teens. Moody, introverted, intelligent.

Roger Senhouse: Young Etonion, late teens, friend of Michael and Arthur Bassett. A flirtatious comic character with a serious side. Probably the youth who has most influenced Michael up to this point. Later went on to become the most important of writer Lytton Strachey's lovers.

Rupert Buxton: Self-assured and charismatic youth also about to enter Oxford. Late teens. Likes to get what he sets his mind to, but doesn't mind fishing for it as he would trout. Cricket is life and life is (almost) cricket to him.

Arthur Bassett: Cynical and sarcastic friend to Michael and Roger. Same age but more conservative and sees his future lying within the Establishment. Repressed.

Mary Ansell: Former actress who was once married to James Barrie. Also been through a second divorce from the man with whom she had an affair while married to Barrie. In somewhat straitened circumstances but still fiercely proud. Late 50s. Also doubles as the nurse and the French prostitute.

Nico Llewelyn Davies: Michael's younger brother, mid-teens. Also at Eton. Real name Nicholas but called Nico by everyone. Idolises Michael. Also doubles as the French waiter.

Setting

The death of Peter Pan is set in the last two years of the life of Michael Llewelyn Davies, late 1918 to early 1921, and takes place in James Barrie's London house, at Eton, a French cafe, a Paris pensione, the banks of the River Seine, the Scottish island of Eilean Shona, Oxford, and the recesses of the character's minds.

Cette pièce nous raconte la naissance de l'amitié entre Michael et Rupert. De leur première rencontre, en passant par le développement du sentiment amoureux, jusqu'à leurs morts communes.
La relation entre Barrie et Michael est également traitée.

J'ai beaucoup aimé cette pièce. Tout en gardant à l'esprit que ce n'est pas une biographie, on se rend compte que l'auteur a fait beaucoup de recherches car j'ai retrouvé beaucoup de similitudes avec le travail d'Andrew Birkin. Mais Barry Lowe choisit d'axer sa pièce sur le développement de la romance ente Michael et Rupert. Rien ne prouve qu'ils aient réellement été amants, mais rien ne prouve le contraire non plus. Je me souviens d'un passage dans »J. M Barrie and the lost boys » où Nico (si je ne me trompe pas) confiait que Michael n'avait jamais eu de petites amies, et qu'il pense qu'il traversait effectivement une phase homosexuelle.
Tout comme rien ne prouve qu'ils se soient suicidées. Mais qui sait...

J'ai trouvé l'écriture de cette pièce pleine de sensibilité et les sentiments entre les deux personnages principaux, mais aussi ceux de Barrie, qui se sent de plus en plus éloigné de Michael, très bien rendus.

J'espère vraiment qu'elle sera publié un jour.

Invité

Ianesthan :

the death of Peter Pan :
différent c'est sur, et franchement triste ( même si on savait déjà tout )
J'ai d'abord eu un peu de mal avec Buxton mais finalement je l'aimais pas mal. La présence de Mary m'a gênée par contre..
Je pense que ça vient principalement du fait que je ne suis pas si à l'aise que ça en anglais, mais je l'ai trouvé assez "niaise" et puis je ne l'aimais déjà pas dans la biographie alors ^^.
Barrie est un vieil original ce qui lui correspond bien je trouve, le seul aspect qui m'a "gêné" dans son portrait est l'affirmation de Buxton, comme quoi il serait amoureux de Michael.. pas convaincue...
Pourquoi ne peut on pas juste considérer qu'il les voyait comme ses fils ? C'est vrai que raconté vite fait leur relation peut sembler bizarre, mais il suffit de développer un peu pour que au contraire ça paraissent naturel. C'est justement un des aspect qui m'a plu dans Neverland. On voit Barrie se rapprocher des enfants, en venir à les aimer comme les siens sans que paraissent autre chose que l'"amour paternel".
Sinon je suis contente d'avoir pu lire cette pièce. Je pense que je la relirai quand j'aurai progressé en lecture en anglais, histoire de mieux saisir les caractères.

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