A Profound Secret: May Gaskell, her daughter Amy, and Edward Burne-Jones de Josceline Dimbleby

Encore un livre découvert grâce à la blogueuse Miranda Mills (décidément).

Citation :

A chance encounter with Andrew Lloyd Webber at a summer party sent Josceline Dimbleby on a quest to uncover a mystery in her own family's past. Her great-aunt Amy Gaskell was the subject of a beautiful dark portrait by the Pre-Raphaelite painter Edward Burne-Jones, but all that was known about Amy, according to family lore, was that she had 'died young of a broken heart'.
In her search, Josceline discovered a cache of unpublished letters from Burne-Jones to her great-grandmother May Gaskell, Amy's mother.They formed a passionate and prolific correspondence, of up to five letters a day, from the last six years of the painter's life. As she read, more and more questions were raised: why did Burne-Jones feel he had to protect May from an overwhelming sadness? What was the deep secret she had confided to him? And what was the tragic truth behind beautiful Amy's wayward, wandering life, her strange marriage and her unexplained early death?

Les critiques postées ici donnent envie

Je note, mais il est épuisé sur The book dep et blackwell.

J'aimerai bien connaître cette histoire quand même.

Ce livre m'intéresse également

Forcément, c'est un livre qui pourrait m'intéresser. J'attends d'avoir vos avis si vous le lisez.

Pour le moins intriguant... Comme Titine, j'attends de voir ce que vous en dites (qui se dévoue?! )

Si il est disponible après le confinement, je me dévoue.

Shelbylee a écrit:

Si il est disponible après le confinement, je me dévoue.

Super 

J'ai re-regardé sur The book dep et ce n'est pas marqué Try abebooks donc j'ai fait une demande de notification s'il est à nouveau disponible.

Il est à nouveau disponible donc quand je pourrai le commander je le ferai.

Chouette ! Tu vas prendre quelle édition ? Je n'ai même pas regardé laquelle était en "paperback".

Le paperback est la première, la jaune/beige. J'aurais préféré l'autre, mais bon tant pis.