Broadway Limited, Tome 1 : Un dîner avec Cary Grant de Malika Ferdjoukh

J'ai été absolument charmée, conquise bref tout ce que vous voulez par Broadway Limited. J'ai dévoré le livre qui m'a fait éteindre ma lampe de chevet bien tard à maintes reprises. J'ai directement plongé dans l'ambiance de ce New York années 1948. C'est tellement bien décrit. Les personnages sont tous réussis et attachants. Je crois que Hadley et Manhattan ont ma préférence. J'aime beaucoup le fait que plusieurs personnages aient leur histoire et qu'on les suive chacun à leur tour. Vivement le prochain tome !

Voilà un roman enchanteur. J’avais beaucoup entendu parler de Malika Ferdjoukh et de sa série jeunesse Quatre sœurs. Mon immersion dans l’univers de l’auteure a été une vraie révélation. J’ai tout aimé sans exception. L’écriture est détaillée et imagée. Elle est agréable à lire et nous plonge complètement au côté des divers personnages. Nous nous retrouvons en plein New-York d’après-guerre où une envie de profiter de la vie, de provoquer le destin et de créer apparaît comme un pied de nez aux années difficiles. L’histoire se base sur un parcours initiatique pour le personnage principal. Des thèmes comme la découverte de l’amour, l’amitié, le poids du passé sont présents. Ce roman recèle de superbes scènes notamment vers la fin dans un paysage enneigé qui m’a émerveillée.

Les personnages sont tout simplement extras. Chacun possède une singularité qui fait que le lecteur les situe parfaitement. Nous découvrons des personnalités très fortes voire extravagantes pour certains mais tellement attachantes. J’ai adoré la façon dont l’auteure dévoile les faces cachées de ces compagnons de route. Elle le fait d’une façon bienveillante, tout en pudeur et en simplicité. Elle nous apporte des révélations au compte-goutte qui permettent de relancer le récit et de garder un bon rythme. Je suis passée par beaucoup d’émotions différentes en passant du rire aux larmes. J’avoue avoir eu une préférence pour Dido et Hadley. Elles sont bien différentes mais touchantes.

Ce roman est à conseiller vivement rien que pour le plaisir de rencontrer toute cette brochette de personnages tous plus attachants les uns que les autres. L’écriture et le récit sont maitrisés. La fin est un crève-cœur car on ne voudrait jamais quitter Jocelyn et ses nouveaux amis. Un coup de cœur qui peut facilement devenir un roman doudou. Vivement le second tome !

Quel merveilleux roman, avec une foule de personnages tous aussi attachants les uns que les autres! (En fait, je crois que j'ai dit cela de tous les romans de Malika Ferdjoukh! )
J'ai adoré découvrir tous ces différents personnages, leurs aspirations, leur craintes... Dans un décor haut en couleurs, forcément, avec New York et ses arts, et la pension Giboulée et toutes ces filles.
J'ai aimé comment l'histoire de chacun se recoupe ainsi que les petites surprises semées ici et là.


Une autre belle réussite, mais qui laisse une déception tout de même, celle de ne pas avoir le tome 2 entre les mains au moment de quitter la dernière page! Comme vous, bien que le roman soit volumineux, je n'en ai pas eu assez!

Voilà ! Je l’ai terminé il y a quelques jours et, comme vous toutes, j’ai totalement succombé au charme du nouveau roman de Malika Ferdjoukh   ! Mon avis ne va donc pas différer des vôtres (vous pouvez retrouver mon article complet sur mon blog pour celles que ça intéresse   ) !

Citation :

Premier tome d’un dyptique en devenir, « Un dîner avec Cary Grant » est en effet un roman délicieux et envoûtant, dans lequel la magie opère dès les premières pages. L’une des particularités de Malika Ferdjoukh, c’est indéniablement son étonnante capacité à créer des atmosphères uniques et des ambiances incroyables dont elle seule a le secret   . Ce nouveau roman ne déroge pas à la règle. Dès les premières pages, l’auteure met en effet en place une atmosphère ensorcelante, crépitante de jazz et saturée de références aux années 40, qui nous projette avec brio dans cet âge d’or de Broadway !
Avec « Broadway Limited », on retrouve donc avec plaisir les ingrédients qui font le succès et la marque de fabrique des romans de Malika Ferdjoukh. A l’instar de la petite bulle hors du temps formée par la Vill’Hervé et ses habitantes dans sa précédente saga « Quatre soeurs »   , la pension Giboulée et ses résidents forment ainsi une petite communauté particulièrement attachante. Une fois encore, Malika Ferdjoukh insuffle à son intrigue et à ses personnages ce petit supplément d’âme qui rend son oeuvre si unique et son univers si envoûtant.
Rapidement, le récit se ramifie en de multiples intrigues secondaires au cours desquelles se croisent les nombreux protagonistes. Saupoudrant son histoire de multiples rebondissements et révélations, l’auteure lève peu à peu le voile sur le passé de ses personnages, établit des connexions parfois insoupçonnées entre certains d’entre-eux et justifie bientôt le titre de ce dyptique, « Broadway limited ». Histoires d’amour, secrets, quête d’identité… les thématiques et les registres se mêlent harmonieusement dans ce roman choral riche en émotions ! Avec une verve sans égale, l’auteure nous régale en outre d’un florilège de jeux de mots en tous genres, de réparties délicieuses et de dialogues soigneusement fignolés, où les traits d’esprit ricochent à chaque page. Portée par une écriture luxuriante et immersive, Malika Ferdjoukh signe une oeuvre foisonnante de références éclectiques, allant de Shakespeare à Fred Astaire, mâtinant astucieusement une intrigue d’une redoutable efficacité.
Avec ce roman mené tambour-battant, elle nous ouvre ainsi les portes d’un monde à part et palpitant où se côtoient vedettes confirmées, divas cabotines et capricieuses, et artistes en mal de reconnaissance. A côté des Clark Gable   , Brando Marlon Marlon Brando ou Sarah Vaughan, on y croise ainsi des musiciens désargentés, des aspirantes comédiennes rêvant de brûler les planches, des danseuses en mal de reconnaissance jouant les cigarettes girl, ou encore des jeunes premières rêvant de voir leur nom en tête d’affiche (mais qui doivent pour l’heure se cantonner à des rôles publicitaires)… Pour tous ces artistes en herbe, le chemin jusqu’aux étoiles se révèle donc semé d’embûches et de désillusions en tous genres. S’ils veulent toucher leurs rêves du doigt, nos jeunes prodiges devront ainsi redoubler d’effort et de persévérance.
Parmi cette foule de prétendants en quête de gloire, certains noms marqueront de leur empreinte l’histoire de Hollywood, telles que la jeune Grace Kelly ou encore Allen S. Königsberg (futur Woody Allen). Maîtrisant son sujet sur le bout des doigts, Malika Ferdjoukh nous abreuve de musiques, de films et de célébrités emblématiques de cette époque. Facétieuse et inspirée, elle pousse l’audace jusqu’à faire apparaître dans son récit d’authentiques personnages de fiction   , tels que Margo Channing et Addison de Witt (issus du film culte « All about Eve » de Mankiewicz !).
L’atmosphère pénétrante et l’écriture saturée de références ne sont pourtant pas le seul attrait de ce roman étoffée de près de 600 pages. Au-delà de ses personnages au capital sympathie considérable et de leurs trajectoires aussi diverses que passionnantes à suivre, Malika Ferdjoukh nous livre avant tout une intrigue parfaitement orchestrée et remarquablement intelligente, qui évite avec brio les facilités scénaristiques et les écueils habituels de la littérature jeunesse.
Ainsi, à côté de la veine purement divertissante du récit, Malika Ferdjoukh donne également un remarquable coup de projecteur sur les événements marquants de cette période de l’Histoire. Un regard retrospectif comme pour mieux interroger notre présent et qui confère au récit une profondeur inédite.
Avec « Broadway Limited », Malika Ferdjoukh signe donc une intrigue divertissante et accrocheuse dont l’aboutissement et la maturité séduiront à coup sûr les lecteurs même les plus âgés. Une vraie pépite, à découvrir absolument !  

Au cours de ma lecture, j'ai également tenté de répertorier toutes les références musicales/cinématographiques/théâtrales/littéraires qu'a glissées l'auteure. Ma liste n'est sûrement pas exhaustive mais je pense que ça peut sûrement en intéresser certaines . Vous pouvez la retrouver sur mon blog, à la fin de l'article

Il s'agissait de mon premier livre de Malika Ferdjoukh, mais je l'ai abordé avec un a priori plutôt positif, entre le titre (Cary Grant !), les extraits d'interviews de l'auteure que j'avais pu lire ça et là et qui me la rendaient plutôt sympathique, et vos avis dithyrambiques sur 4 sœurs !
J'ai bien aimé le style, humoristique mais parsemé d'images plutôt originales, et en même temps je me suis dit qu'il ne détonnait pas dans la ligne éditoriale de l’École des Loisirs, parce que si je n'avais pas connu le nom de l'auteur j'aurais pu me croire dans du Moka ou du Marie-Aude Murail (ce qui est plutôt un compliment, notez bien).
L'ambiance générale était également très réussie, on partage l'émerveillement de Jocelyn qui découvre la ville (malgré la ségrégation raciale et le maccarthysme en toile de fond). Le texte est bien sûr truffé de références culturelles plus ou moins cachées (le "Il parait qu'ils filment Judy Garland à travers une mousseline pour la rajeunir. Moi, il faudra me filmer à travers des plaques de bois !" de Miss Artemisia à la table de poker, par exemple, qui était une variante du "They used to photograph Shirley Temple through gauze. They should photograph me through linoleum." de Tallulah Bankhead m'a fait sourire, même si je suis sûre qu'il y a un tas de choses qui me sont passées sous le nez.), et ce de façon habile : le lecteur se sent complice, il peut découvrir des chansons ou des films cités, sans avoir pour autant l'impression que l'auteur case de force toutes les références qui lui viennent à l'esprit. Exemple : quand Jocelyn porte pour la première fois son costume de soirée et que successivement les filles le comparent à leur star masculine hollywoodienne préférée "au moment où il va embrasser (compléter le nom de la star féminine correspondante)", c'est drôle, ça fait naturel, une partie du cerveau travaille plaisamment pour essayer de deviner à quel film on fait allusion, mais ça n'est pas agaçant du tout.
Concernant les personnages, même si les filles ont des personnalités bien tranchées et distinctes les unes des autres qu'on serait d'abord tenté de résumer d'une phrase, elles ne sont pas unidimensionnelles du tout. En fait tous les personnages sont attachants, plutôt émouvants, souvent excentriques, et il y a quelque chose de très festif et chaleureux à la pension Giboulée et dans la maison voisine qui séduit d'emblée le lecteur.
Pour tout dire, j'ai refermé le livre en sachant que je le relirais sûrement régulièrement, toujours avec plaisir, et en étant d'ailleurs tentée de le faire tout de suite ! Il y a des personnages et des lieux fictionnels dont on sait d'emblée qu'on les retrouvera comme une paire de chausson, familiers, chauds et confortables, toujours présents quand vous avez besoin d'eux.

Merci pour tous vos retours les filles ! C'est vraiment un plaisir de les lire. Et je sais que Malika, qui nous lit, les apprécie aussi

@ Afleurdemots : merci d'avoir recensé les références ! Je pense que cette liste sera bien utile !

@ WithinMyDreamingSide :

Citation :

[...] et ce de façon habile : le lecteur se sent complice, il peut découvrir des chansons ou des films cités, sans avoir pour autant l'impression que l'auteur case de force toutes les références qui lui viennent à l'esprit. Exemple : quand Jocelyn porte pour la première fois son costume de soirée et que successivement les filles le comparent à leur star masculine hollywoodienne préférée "au moment où il va embrasser (compléter le nom de la star féminine correspondante)", c'est drôle, ça fait naturel, une partie du cerveau travaille plaisamment pour essayer de deviner à quel film on fait allusion, mais ça n'est pas agaçant du tout.

J'ai adoré ce passage. Je l'ai trouvé plein d'esprit. Ce qui est cool (Malika l'a expliqué elle-même dans une interview), c'est que dans cette scène, il y a une abondance de références mais que le comique de situation repose aussi dans la répétition. C'est très réussi et pas lourdingue pour un sou.

Je n'ai pas encore pris le temps de lire vos commentaires mais je ne doute pas qu'ils sont hyper, ultra positifs comme le mien. Je ne vais pas répéter ce qui a déjà été dit mais j'ai ADORE découvrir cette pension avec ses pensionnaires et ses propriétaires. Revivre cette période où tout était possible, les rêves et aspirations fut un réel plaisir. J'ai une question de la plus haute importance : il sort quand le tome 2?

Je pense que ce livre fera encore une apparition dans les recommandations du mois d'avril et un merci au forum pour me l'avoir fait découvrir.

Que dire qui n'a pas déjà été dit ? J'ai adoré, comme vous, ce roman au rythme enlevé, aux bons mots perpétuels et à la bonne humeur communicative. J'ai aimé cette évocation des années d'après-guerre à New York, où tout semblait permis et où pourtant, tout n'était pas rose et où on découvre par petites touches l'envers du décor. Les protagonistes sont tous attachants, d'une manière ou une autre, et j'ai souri à l'évocation (et à l'apparition, parfois) de figures célèbres.

Et comme souvent dans les romans de Malika Ferdjoukh, il y a LE lieu qui fait tout. Pour Quatre soeurs, c'était la Vill'Hervé ; dans Chaque soir à onze heures, c'était Fausse-Malice. Ici, nous avons droit à la Pension Giboulée, où j'ai eu envie, dès le début, de me glisser à la suite de Jocelyn, de m'asseoir auprès de la cheminée et de me lancer emporter par le tourbillon du va-et-vient de ses si charmant(e)s pensionnaires !

Je crois que c'est un de ces romans que je relirai avec plaisir, pour découvrir encore et encore les multiples références disséminés au cour du récit. Et la même question, toujours : à quand le tome 2 ?

Je suis heureuse de voir que tout le monde a trouvé son compte dans ce roman. Une superbe surprise! Vivement quelques infos sur la suite!

Je ne vais pas être très originale : j'adoré ce roman Et je n'ai qu'une envie : lire la suite ! Je l'ai fait duré le plus longtemps possible et l'ai refermé avec le regret de quitter tout ce petit monde que je retrouvais chaque soir (et qui occupait mon esprit toute la journée à la librairie !). Un vrai bonheur de lecture !!

Je vais faire un remake non original de vos réponses: j'ai adoré ce roman et j'ai retrouvé la plume de Malika Ferdjoukh avec grand plaisir !!! Pendant quelques jours, je me suis plongée dans cette histoire et partager le quotidien des pensionnaires de Giboulée fut un vrai régal! J'ai eu, au départ, un peu de mal à assimiler les noms des charmantes demoiselles de Giboulée mais au fur et à mesure, j'ai appris à les connaître et à les apprécier pour leur petit tempérament, très différent! A l'instar de "Jocelyne", je serais bien en peine d'en préférer une à l'autre.
Chaque morceau de vie est passionnant et j'ai hâte de découvrir tous les petits secrets des demoiselles. Je me demande également comment va se poursuivre l'épopée américaine de Jocelyn, le petit "frenchie". Au-delà des morceaux de vie, l'auteur nous plonge dans un monde du spectacle et des paillettes, sans en occulter les défauts: le racisme, la délation, la peur du communisme, la difficulté de vivre pleinement sa passion. Sans compter que l'on retrouve également toutes les petites trouvailles de style, faisant la richesse de la plume de Malika Ferdjoukh: le nom des chats, la description des personnages, le langage de Ogden.
Ce fut un vrai petit coup de coeur et j'ai hâte de dévorer le prochain tome!!!

@ Seirên : Je suis ravie que tu continues ta découverte des romans de Malika Ferdjoukh et surtout que tu les apprécies autant ! Je pense que Broadway Limited est un de mes préférés. Qu'est ce que j'ai hâte de lire la suite !

Citation :

J'ai eu, au départ, un peu de mal à assimiler les noms des charmantes demoiselles de Giboulée mais au fur et à mesure, j'ai appris à les connaître et à les apprécier pour leur petit tempérament, très différent! A l'instar de "Jocelyne", je serais bien en peine d'en préférer une à l'autre.

Et maintenant que ta lecture remonte à quelques jours, il n'y en a pas une qui se distingue plus que les autres ?

@Emjy: Hadley est une de mes favorites. Je la trouve courageuse, c'est une battante! Son histoire d'amour "manquée" (mais l'est-elle réellement? ) m'a beaucoup touchée. Dido est également une jeune fille intéressante, permettant de découvrir la face sombre du monde artistique de cette époque: la chasse aux artistes "communistes".

« Broadway limited – 1. Un dîner avec Cary Grant » est un régal. Malika Ferdjoukh a l’art de créer des ambiances et de nous y emporter. Nous sommes ici dans le New York de la fin des années 40, entre Halloween et Noël. L’atmosphère est pétillante, entraînante, romantique et mélancolique à la fois. C’est un roman qui évoque les comédies américaines de cette époque. Malika Ferdjoukh glisse beaucoup de références au cinéma qui est une grande passion pour elle. L’écriture de l’auteure est d’ailleurs très cinématographique, très détaillée et nous permet de totalement nous plonger dans son récit.

Malika Ferdjoukh a également un talent fou pour créer des personnages attachants. Bien entendu, « Broadway limited » est le roman d’apprentissage de Jocelyn qui découvre la vie, l’amour à New York. Mais le jeune homme est entouré d’une galaxie de jeunes femmes toutes plus touchantes les unes que les autres : Manhattan qui court les castings et y croise la jeune Grace Kelly, Chic qui enchaîne les spots publicitaires et n’en peut plus de la soupe Campbell, Page qui est amoureuse d’un critique beaucoup plus âgé qu’elle, Dido la militante de gauche qui entraîne Jocelyn dans des manifestations et Hadley, la plus surprenante et mystérieuse de la pension. Encore une fois, Malika Ferdjoukh nous fait partager le quotidien d’une fratrie comme dans « Fais-moi peur » ou « Quatre sœurs » (je n’ai lu pour le moment que son adaptation en bande-dessinée par Cati Baur). Ici, c’est une fratrie recomposée, une fratrie née de l’amitié des uns pour les autres. Mais la cohésion est forte au sein de la pension, chacun est là pour soutenir, pour consoler l’autre. Il y a , comme toujours avec cette auteure, beaucoup d’humanité et de tendresse envers ses personnages.

Un roman tourbillonnant, enchanteur qui nous entraîne dans la magie du New York de la fin des 40’s aux côtés de jeunes gens pleins de talents, de passion et d’espoir. Un délice !

Ton avis me donne envie de relire ce roman

C'est vrai qu'il est tourbillonnant, il nous entraîne dans un rythme trépidant et on a qu'une envie : devenir comme Jocelyn l'ami de toutes ces attachantes héroïnes.

Les apparitions de Woody Allen sont amusantes, n'est ce pas ?

Emjy a écrit:

Ton avis me donne envie de relire ce roman

C'est vrai qu'il est tourbillonnant, il nous entraîne dans un rythme trépidant et on a qu'une envie : devenir comme Jocelyn l'ami de toutes ces attachantes héroïnes.

Les apparitions de Woody Allen sont amusantes, n'est ce pas ?

Ah oui, c'était vraiment très drôle ! Celles de Grace Kelly sont charmantes aussi. On sent vraiment dans ce roman tout l'amour du cinema de Malika Ferdjoukh.

Oui Grace Kelly est particulièrement charmante dans la scène où elle apparaît. D'ailleurs, c'est amusant, elle est décrite de la même façon par Louis Jourdan dans sa biographie.

Le 11 avril, le tome 1 de Broadway Limited sort en poche et j'adore la nouvelle couverture 




Si vous aimez les ambiances new yorkaises et le cinéma américain des années 50 (entre beaucoup d'autres choses ), je vous conseille de vous laisser tenter. Ce roman a été un coup de cœur pour beaucoup de membres de ce forum

Très jolie couverture en effet!

Elle est sympa cette couverture, j'essaierais de la voir en vraie pour me faire une meilleure idée.

A mon tour de conseiller hautement la lecture de ce livre!

Je trouve cette couverture beaucoup plus réussie que la première. Elle donne une meilleure idée du roman.

Oh que oui ! L'Ecole des Loisirs a tellement bien fait de le relooker !

Je poste mon premier message exprès pour annoncer une bonne nouvelle : la sortie du tome 2
"Un shim-sham avec Fred Astaire" : ça promet !!

Le 7 novembre, c'est tout bientôt ! 480 pages annoncées... Tellement hâte de retrouver Jocelyn, Manhattan, Chic et les autres. J'ai tellement aimé lire le premier tome au printemps dernier que j'ai cherché des gens qui en parlaient sur le web et c'est comme ça que j'ai découvert ce forum ^^

Je n'ai pas lu tout vos avis car je veux garder la surprise mais votre enthousiasme m'a convaincue : je l'ai commencé en début de semaine !

Super ! Bonne lecture, Miss Julitte