cause célèb' d'Helen Fielding

et moi qui voulais une lecture légère dans la lignée des Bridget Jones... j'ai été déçue sur ce coup-là!

Mais pas sur le roman en lui-même...

4ème de couverture :
«Si seulement on avait un cerveau lavable. Incroyable, le nombre de fois où j'ai eu envie de me décalotter le crâne, comme on décalotte un oeuf, pour sortir mon cerveau et le rincer sous le robinet comme une éponge sale. Comme l'option de ce lavage de cerveau m'était impossible, je me suis mise à envisager le voyage en Afrique comme une échappatoire.»

C'est un extrait du roman, et sincèrement je ne le trouve pas du tout réprésentatif de l'ambiance du livre, de l'état d'esprit de la narratrice.

L'héroïne, Rosie, nous raconte en parallèle sa vie de jet-setteuse londonienne et celle de responsable d'un camp de réfugié au Soudan. Une menace va la contraindre à retourner à Londres.

(oui : je fais archi-court dans le résumé. Malheureusement je ne suis pas douée pour raconter un livre et le donner envie de lire...)

Le ton est grave, mais les personnages drôles, un peu excentriques, et très attachants. j'ai eu beaucoup de mal à lâcher le livre.

Moi aussi Laly, j'avais bien aimé ce livre ! C'est très prenant et l'héroïne est une sorte de pré-Bridget.
L'histoire est vraiment dingue. J'aime aussi beaucoup Olivia Joules qu'Helen Fielding a sorti il y a quelques années, dommage qu'elle n'écrive plus grand'chose...

je l'ai mais je n'ai jamais réussi à le finir. Pour moi Helen Fielding ne sera la femme que de deux livres je crois bien. J'avais lu sa suite de Bridget publiée par épisodes dans The Independant en 2005 et c'était affreusement naze. Donc contrairement à Mona, je ne suis pas mécontente de sa pause.